Commodification is the transformation of goods and services, as well as ideas or other entities that normally may not be considered goods,[1] into a commodity
Human beings can be considered subject to commodification in contexts such as genetic engineering, social engineering, cloning, eugenics, social Darwinism, Fascism, mass marketing and employment. An extreme case of commodification is slavery, where human beings themselves become a commodity to be sold and bought. Similarly, the use of non-human animals for food, clothing, entertainment, or testing represents the commodification of other living beings.[citation needed]
Karl Marx extensively criticized the social impact of commodification under the name commodity fetishism and alienation. [5]
Commodification is often criticised on the grounds that some things ought not to be for sale and ought not to be treated as if they were a tradeable commodity–for example education, data, knowledge in the digital age. [6]
http://en.wikipedia.org/wiki/Commodification_of_nature
I. Aspects of commodification
Element | Meaning[35] |
Privatization | Assigning of legal title over a commodity to a particular actor |
Alienability | Capacity of a given commodity to be physically and morally separated from sellers |
Individuation | Separating a commodity from supporting context through legal and material boundaries |
Abstraction | Setting individual things as equivalent based on classifiable similarities |
Valuation | Monetizing the value of a commodity |
Displacement | Spatiotemporal separation, obscuring origins and relations |
A. Les domaines où régnerait la marchandisation
Ces opposants rangent par exemple dans cette notion :
- la privatisation des services publics, comme la distribution d’eau ou les transports collectifs,
- la privatisation des ressources naturelles, telles que les ressources en eau ou la biodiversité2 et les milieux naturels via les banques d’actifs naturels3. Cette privatisation est notamment combattue par l’association biens publics à l’échelle mondiale
- la disparition des couvertures sociales contre la maladie, au profit d’assurances maladie complémentaires gérées par des compagnies privées, à but lucratif,
- la marchandisation des produits culturels et artistiques4, dénonçant la concentration des grands groupes de médias sur l’industrie culturelle telles que l’industrie musicale et l’industrie du cinéma,
- la marchandisation du vivant, s’opposant aux brevets du vivant ou à la biopiraterie, par exemple avec les brevets sur les gènes.
- la marchandisation du corps, notamment celui de la femme, pour désigner deux réalités différentes : la prostitution, mais aussi l’exploitation commerciale de son image (notamment par la publicité la montrant souvent dénudée)
- la marchandisation de l’enseignement, notamment de l’Université, les institutions étant mises en concurrence entre elles pour attirer la clientèle (étudiante), l’éducation étant présentée comme un investissement individuel dont la validité dépend de sa rentabilité économique, les produits des recherches universitaires étant censés être des sources de financement (ou de profits) pour l’Université.
Ces adversaires s’en prennent notamment à l’OMC et aux accords de commerce internationaux comme l’AGCS, qui promeuvent une plus grande extension des domaines des marchés.
B. Phénomènes inverses
Le développement
- des logiciels libres, du journalisme citoyen, des sites Internet à rédaction coopérative (wikis),
- des fondations et ONG humanitaires,
- le principe du système d’échange local
- de médias alternatifs
- de banques coopératives
- et d’autres activités désintéressées, tant individuelles qu’associatives et coopératives,
montre que le monde, système dynamique complexe en perpétuelle recherche d’équilibre lorsque règne la liberté d’adaptation, évolue, dans de nombreux domaines, de façon tout à fait inverse.