web 2“web social” |
web 3“web P2P sémantique” |
Internet rédactionnel et participatif fonctions d’échanges entre pairs centré application : centralisation des données, des pouvoirs et des richesses par le propriétaire de l’application effet silo : les données stockées dans une application sont enfermées ; les données sont dispersées dans chaque application empêchant leur cohérence, l’utilisateur doit faire lien ; les données ont une structure propre à l’application. à but de lucratif : code fermé et utilisation souvent gratuite mais les données sont revendues sans retour pour leur créateur |
Internet distribué et sémantique fonctions d’échanges entre pairs centré utilisateur : centralisation des données, des pouvoirs et des richesses par l’utilisateur des applications inter-opérabilité : les données stockées dans une application peuvent être utilisées dans une autre sans resaisie ; les applications peuvent se combiner pour donner une fluidité d’usage et de visibilité ; des protocoles “sémantiques” de structure de données permettent leur réutilisation en dehors de l’application où elles ont été créés à but de Communs : souvent open-source, l’utilisation peut demander un abonnement ou une commission mais les données restent propriété de leur créateur |
collaboratifs |
coopératifs |
co-élaborer ensemble
communiquer discuter être en relation faire émerger les idées |
co-opérer ensemble
organiser les actions décider suivre les flux de ressources administrer |
« groupware » ou « logiciel de groupe de travail » (forme abrégée : « logiciel de groupe ») qualifie les logiciels permettant à un groupe d’utilisateurs de travailler sur un même projet sans être nécessairement réunis au même moment. L’origine anglo-saxonne du terme « groupware » est une extension de « hardware » et « software », mais on utilise aussi, à tort, TCAO (abréviation de « Travail coopératif assisté par ordinateur »). En français le mot « collecticiel » est recommandé, mais on utilise aussi « logiciel de travail collaboratif », « logiciel de groupe », “plate-forme collaborative” ou “communications unifiées” |
FLOSS(Free Libre open Source Software) |
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Un FLOSS est un logiciel dans lequel le code source est à la disposition du grand public, avec un effort de collaboration où les programmeurs améliorent ensemble le code source et partagent les changements au sein de la communauté.
Les logiciels FLOSS sont publiés sous licence libre afin de permettre aux utilisateurs d’utiliser à toute fin, de copier, d’étudier, de modifier et de redistribuer à titre gratuit ou onéreux ces derniers grâce à la disponibilité du code source, par opposition aux modèles des logiciels “propriétaires” ou « privateurs » Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. La qualité des logiciels produits. Le code source peut être relu et amélioré par tout le monde, ce qui peut permettre notamment la correction de problèmes de sécurité. |
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logiciel open source= à code source ouvert |
logiciel libre |
Les libertés ne sont pas contaminantes : le logiciel peut être librement intégré à une offre commerciale avec des bouts de logiciels propriétaires.
Le mouvement des logiciels open source s’est différencié en insistant plus sur l’aspect technique et pratique du développement ouvert et collectif. exemple : BSD, MIT, Artistic, Apache |
La licence Copyleft a un caractère héréditaire : la fusion d’un logiciel libre avec un logiciel non libre, n’autorise la redistribution du logiciel fusionné que sous libre.
Les libertés doivent être irrévocables : la licence libre ne donne le droit de redistribuer un logiciel que si l’ensemble du logiciel, y compris toutes les éventuelles modifications, sont redistribuées selon les termes exacts de cette licence. Le mouvement original du logiciel libre insiste davantage sur le concept de liberté, au sens philosophique et socio-politique. exemple : GPL, CeCILL |